Non, les personnes que j’accompagne ne sont pas des “cas”.

Non, les personnes que j’accompagne ne sont pas des “cas”.

« Non, les personnes que j’accompagne ne sont pas des “cas”. »

Je trouve ça affreux de désigner des personnes ainsi, et j’en ai vraiment marre que, dès que je parle de mon métier, on me réponde :
« Tu dois voir de sacrés cas ! »
ou encore :
« Ah oui, les cas soc… » et j’en passe.

Cette manière de parler est inhumaine, irrespectueuse, dégradante. Elle réduit des personnes à une étiquette, à une différence, à un jugement.
Derrière chaque histoire, il y a une vie, un parcours, une dignité.

Alors non, je n’accompagne pas des cas, mais des personnes, avec leurs forces, leurs blessures, leurs espoirs, leurs combats.
Elles méritent le respect, la considération et la bienveillance — comme tout être humain.

Gardons, ensemble, un peu d’humanité. 🫶🏼

Pour que ce jour compte,

Peggy